Toutes les souffrances ont un sens, quelles que soient les façons dont elles se manifestent. Tel est le postulat qui justifie toute thérapie. En fait, une thérapie vise à chercher du sens derrière un décor qui semble n'en avoir aucun.
Les méthodes thérapeutiques sont nombreuses. PNL (Programmation Neuro-Linguistique), hypnothérapie, thérapies humanistes, TCC (Thérapies Comportementales et Cognitives), art thérapie, sophrologie, et d'autres encore. Chacune a ses caractéristiques propres, pas forcément inconciliables, bien au contraire !
Pour notre part, nous proposons méthode analytique, proche de la psychanalyse donc.
Les enjeux en peu de mots ? Identifier les représentations symboliques qui, sans en avoir conscience, produisent des comportements, des réflexes, des pensées qui gâchent la vie. Poser des mots précis sur des sentiments flous. Établir des liens entre des facettes du vécu qui paraissaient de pas en avoir.
Au bout d'un voyage passionnant mais exigeant, voyage appelé « analyse », on atteint le but. Se comprendre en profondeur ou, pourrait-on aussi dire, se réconcilier avec soi-même, avec le soi en souffrance.
C'est un tel voyage que nous proposons. Une exploration où le choix du mot juste est essentiel, où les émotions sortent librement une fois la confiance établie. Des émotions mais aussi des tranches de vie, des rêves, des souvenirs enfouis qui se mettent peu à peu à raconter une histoire : la vôtre.
Le tout dans une ambiance certes studieuse mais détendue, dont les traits d'esprit ou l'humour ne sont jamais loins !
Nous travaillons en face à face ou bien à distance. Volontiers par téléphone, par visioconférence (plus rarement, car une méthode analytique demande de se relâcher pour mieux élaborer, ce qu'un écran peut gêner), voire même par échanges de mails au besoin.
Anonyme, le 06/09/2016 à 02h19
Bravo se laisser convaicre les ses émotions on peut tomber très bas dans son estimés et le pièges c est de ne plus s en sortir Paressseux puant et sans vie bref la vie du conchonAnonyme, le 02/10/2016 à 10h56
Merci David pour ce parallèle intéressant, si ces mini-chocs ne sont pas résorbés que peut on faire pour qu'ils le soient ?Le coach, le 02/10/2016 à 11h19
Merci d'avoir pris le temps de lire l'article ! Travailler ce trait de caractère, nommé en hébreu ichtavouth (littéralement, le fait d'être "installé" de manière stable) est difficile. Très prosaïquement, je vous dirais qu'il s'agit de repérer tout ce qui en soi génère l'instabilité, l'instabilité étant volontiers généré par l'imagination, et le remplacer par ce qui clarifie l'esprit, à savoir l'étude de la Torah et sa pratique, pour une personne juive bien entendu. De manière générale, les mini-chocs comme vous les nommez, trouvent de quoi résonner en l'homme parce qu'il existe un espace pour les accueillir. La connaissance du soi psychique (par une analyse ou une thérapie), mais aussi le développement du soi spirituel (par le travail des traits de caractère et le développement intelligent de la foi notamment), permettent de réduire ces espaces jusqu'à les faire disparaître. Ce travail est le travail d'une vie.